Ca va faire 5 ans que je suis dans les études supérieures. 5 ans déjà.
Je suis allée en tourisme, où j’y ai fait plus de belles rencontres que je n’ai été réellement aux cours (ça ne me passionnait pas particulièrement), j’ai ensuite entamé une année d’étude en informatique.
J’ai littéralement adoré cette section, mais devant effectuer des trajets de plus d’1h30 aller et 1h30 retour (sans compter les retards légendaires des trains) tous les jours, je me suis épuisée (mais vraiment. J'ai du rester au lit 1 semaine), et loupée.
Ça a été pour moi le plus dur revirement que j’ai eu à effectuer durant toute ma scolarité, car je me suis réellement épanouie dans ces cours, bien que j’aie eu un mal de chien à suivre.
J’y ai fait de belles rencontres, ai participé à des projets intéressants, ai même découvert une très belle ville (Namur).
Quand on m’a annoncé que j’avais raté de peu, je suis tombée des nues. J’ai donc baissé les bras et ai décidé de reprendre ma scolarité dans ma région.
Je suis donc partie dans une école d’arts graphiques (j’hésitais également avec des études d’institutrice, mais je ne voulais plus étudier d’arrache-pied comme l’an précédent).
J’ai retrouvé dans ma section des personnes que j’avais connues lors de mon secondaire (collège-lycée pour les français) ce qui m’a surpris, mais elles avaient pratiquement le même parcours que moi.
Et j’y ai rencontré de nouvelles personnes avec des personnalités très différentes et pourtant très attachantes.
Elles m’ont aidée, à leur insu, à remonter la pente et à surmonter cette peine que j'avais de ne plus être à Namur.
Car pour tout dire, je voulais tout arrêter et partir travailler, tellement Namur me manquait.
En décembre, j’avais surmonté cette tristesse, et j’ai passé mes deux premières années sans difficultés, en effectuant des travaux plus ou moins intéressant, et en apprenant quand même pas mal de choses.
Lors de ma première année, j'ai rencontré loulou, qui m'aime, m'aide et m'encourage du mieux qu'il peut, supporte mes humeurs et mon stress constant.
J’entame ici ma troisième et dernière année. Et je suis effrayée, stressée, angoissée, enfin… Tout ce que vous voulez.
Je sais que dans 9 mois, c’est fini.
Je n’aurais pas de nouvelle rentrée, je n’aurais pas de nouveaux cours, je ne reverrais plus les bouilles auxquelles je me suis habituée, celles avec qui j’ai passé un moment inoubliable en Ecosse, celles avec qui j’ai passé du temps. Et ça me rend triste, et nostalgique, alors que ce n’est pas encore fini.
Et dire que l'année prochaine, à la même période, c'est fini, que je serais sur le marché de l'emploi! (Tiens, et si on pensait vite fait au terme "marché" de l'emploi... On dirait du bétail!)
Puis, il y a la recherche d’un stage. C’est une chose qui me stresse également énormément.
Ayant déjà galéré quand j’étais au secondaire, j’ai peur que la même chose m’arrive.
La dead line est proche, et je panique. « Reste cool » qu’ils me disent tous… Impossible, je suis angoissée par nature.
Cette dernière année, n’est ni la pire, ni la meilleure, elle est juste la plus triste.
Ceci dit, quand je l’aurais, ce stage, je pourrais souffler, effectuer mes travaux scolaires en toute sérénité, et passer encore 3 mois avec toutes ces personnes.
A ces personnes qui m’ont aidé à avancer et à m’améliorer, merci.
Je suis allée en tourisme, où j’y ai fait plus de belles rencontres que je n’ai été réellement aux cours (ça ne me passionnait pas particulièrement), j’ai ensuite entamé une année d’étude en informatique.
J’ai littéralement adoré cette section, mais devant effectuer des trajets de plus d’1h30 aller et 1h30 retour (sans compter les retards légendaires des trains) tous les jours, je me suis épuisée (mais vraiment. J'ai du rester au lit 1 semaine), et loupée.
Ça a été pour moi le plus dur revirement que j’ai eu à effectuer durant toute ma scolarité, car je me suis réellement épanouie dans ces cours, bien que j’aie eu un mal de chien à suivre.
J’y ai fait de belles rencontres, ai participé à des projets intéressants, ai même découvert une très belle ville (Namur).
Quand on m’a annoncé que j’avais raté de peu, je suis tombée des nues. J’ai donc baissé les bras et ai décidé de reprendre ma scolarité dans ma région.
Je suis donc partie dans une école d’arts graphiques (j’hésitais également avec des études d’institutrice, mais je ne voulais plus étudier d’arrache-pied comme l’an précédent).
J’ai retrouvé dans ma section des personnes que j’avais connues lors de mon secondaire (collège-lycée pour les français) ce qui m’a surpris, mais elles avaient pratiquement le même parcours que moi.
Et j’y ai rencontré de nouvelles personnes avec des personnalités très différentes et pourtant très attachantes.
Elles m’ont aidée, à leur insu, à remonter la pente et à surmonter cette peine que j'avais de ne plus être à Namur.
Car pour tout dire, je voulais tout arrêter et partir travailler, tellement Namur me manquait.
En décembre, j’avais surmonté cette tristesse, et j’ai passé mes deux premières années sans difficultés, en effectuant des travaux plus ou moins intéressant, et en apprenant quand même pas mal de choses.
Lors de ma première année, j'ai rencontré loulou, qui m'aime, m'aide et m'encourage du mieux qu'il peut, supporte mes humeurs et mon stress constant.
J’entame ici ma troisième et dernière année. Et je suis effrayée, stressée, angoissée, enfin… Tout ce que vous voulez.
Je sais que dans 9 mois, c’est fini.
Je n’aurais pas de nouvelle rentrée, je n’aurais pas de nouveaux cours, je ne reverrais plus les bouilles auxquelles je me suis habituée, celles avec qui j’ai passé un moment inoubliable en Ecosse, celles avec qui j’ai passé du temps. Et ça me rend triste, et nostalgique, alors que ce n’est pas encore fini.
Et dire que l'année prochaine, à la même période, c'est fini, que je serais sur le marché de l'emploi! (Tiens, et si on pensait vite fait au terme "marché" de l'emploi... On dirait du bétail!)
Puis, il y a la recherche d’un stage. C’est une chose qui me stresse également énormément.
Ayant déjà galéré quand j’étais au secondaire, j’ai peur que la même chose m’arrive.
La dead line est proche, et je panique. « Reste cool » qu’ils me disent tous… Impossible, je suis angoissée par nature.
Cette dernière année, n’est ni la pire, ni la meilleure, elle est juste la plus triste.
Ceci dit, quand je l’aurais, ce stage, je pourrais souffler, effectuer mes travaux scolaires en toute sérénité, et passer encore 3 mois avec toutes ces personnes.
A ces personnes qui m’ont aidé à avancer et à m’améliorer, merci.
Ca n'a pas dû être difficile de changer de domaine comme ça, surtout en se disant qu'on a râté de justesse. Mais au moins tu as rencontré des gens formidable sont ton chéri si j'ai bien compris. Ne t'en fais pas pour ton stage, moi à l'époque j'ai dû envoyer une bonne centaine de CV avant d'en décrocher un. Donc reste zen.
RépondreSupprimerDeltreylicious
Merci pour ton commentaire réconfortant.
SupprimerBisous bisous
monh ma poulette, mon tit flan <3 tu fais partie de mes plus belles rencontres et j'en remercie l'ISET pour ça même si c'est vrai qu'à la fin on glandait à la cafet' sur nos pc respectifs ^^ je te comprends totalement car j'ai eu le même parcours chaotique que toi!!! et je tiens à te redire que je suis là pour toi quoi qu'il arrive!!! et j'espère qu'on arrivera à se voir un peu plus souvent même si avec nos cours et stages ce ne sera pas évident :(
RépondreSupprimerdans tous les cas je te fais plein de gros bisouxxx et n'hésite pas à venir me parler si ça va pas, que tu as besoin de réconfort ou tout simplement pour parler de la pluie et du beau temps ^^'
ton caramel <3
Aujourd'hui, il y a du soleil :D
SupprimerAhah, et ne t'inquiète pas, je sais :p
Bisous à toi caramelmou <3
Très bel article Kelly et c'est vrai ça va faire drôle mais j'espère garder le contact avec vous toutes :)
RépondreSupprimerJ'espère que tu trouveras ton stage.
Bisous bisous
Justine
Bonne nouvelle, j'ai mon stage, donc ça va mieux :D
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